La commune de Mermoz Sacré-Cœur ne fléchit pas dans sa volonté de respecter les engagements pris devant les populations, après le second mandat qui lui a été donné. Pour prouver qu’elle fait de cet engagement de travailler pour le compte de ses administrés un point d’honneur, ce matin, l’édile de la commune, entouré de ses services a procédé à l’arrêt du chantier sur la bande de terre qui fait face à la permanence de l’Afp. Selon les explications du maire qui pilotait les opérations d’enlèvement de la clôture en Zinc qui y était dressée, le Ministère de l’Urbanisme et du Cadre de vie avait comme feuille de route d’aménager la bande de terre et d’en faire un espace où les populations allaient vivre mieux. Avec un jardin et un espace de jeu, aménagé pour que les gens puissent se promener.
Seulement, le Ministère n’a pas respecté les termes de son engagement de fermer le canal avant tout démarrage des travaux sur le site. Pour que le Ministère démarre le projet, explique Barthélémy Dias très en colère, il fallait d’abord que le Ministère procède à la fermeture canal à ciel ouvert où les déchets de tout genre sont versés nuitamment.
La deuxième condition était que sur le site de la Boulangerie, la Dscos revienne à de meilleurs sentiments et laisse la commune dérouler ses projets. «Puisque la commune n’a pas le droit de travailler sur son propre titre foncier, personne ne travaillera», a martelé le maire. Avant d’ajouter : «non seulement, le Ministère n’a pas fermé le canal mais il commence à travailler, en versant partout du sable et des gravats. Nous ne l’accepterons pas. La condition pour que cette bande de terre soit laissée au ministère pour travailler, c’était qu’ils ferment le canal à ciel ouvert qui empêchent les populations de dormir du sommeil du juste, pour des questions de salubrité et d’environnement. Diéne Farba Sarr ne fait ni plus, ni moins qu’un saupoudrage avec ce qu’il est en train de faire». Si le canal est fermé, a fini le maire qui s’est saisi du matériel trouvé sur place, le projet pourra continuer. Et, dit-il, il ne perd pas espoir que ce projet puisse se réaliser, parce que tout le monde travaillant pour le compte de la population.
Seulement, le Ministère n’a pas respecté les termes de son engagement de fermer le canal avant tout démarrage des travaux sur le site. Pour que le Ministère démarre le projet, explique Barthélémy Dias très en colère, il fallait d’abord que le Ministère procède à la fermeture canal à ciel ouvert où les déchets de tout genre sont versés nuitamment.
La deuxième condition était que sur le site de la Boulangerie, la Dscos revienne à de meilleurs sentiments et laisse la commune dérouler ses projets. «Puisque la commune n’a pas le droit de travailler sur son propre titre foncier, personne ne travaillera», a martelé le maire. Avant d’ajouter : «non seulement, le Ministère n’a pas fermé le canal mais il commence à travailler, en versant partout du sable et des gravats. Nous ne l’accepterons pas. La condition pour que cette bande de terre soit laissée au ministère pour travailler, c’était qu’ils ferment le canal à ciel ouvert qui empêchent les populations de dormir du sommeil du juste, pour des questions de salubrité et d’environnement. Diéne Farba Sarr ne fait ni plus, ni moins qu’un saupoudrage avec ce qu’il est en train de faire». Si le canal est fermé, a fini le maire qui s’est saisi du matériel trouvé sur place, le projet pourra continuer. Et, dit-il, il ne perd pas espoir que ce projet puisse se réaliser, parce que tout le monde travaillant pour le compte de la population.