Pour l’autonomisation socio économique des jeunes et des femmes, le PIDES a mis en place un conseil consultatif des quartiers dans les zones d’interventions du programme. L’objectif de ce processus selon la coordonnatrice du PIDES Mme Aissatou Ayo Ba Diop, est d’intégrer les quartiers et tous les acteurs de la base afin de faire émerger les projets et les initiatives dans leurs processus de développement socio économique de base et dans les activités créatrice de revenues.
Elle ajoute que la mission du programme va au-delà même, il intervient est aussi à soutenir l’autonomisation des femmes et des jeunes dans un perspectives de développement économique local et une prise en compte du genre. « Nous finançons les projets des jeunes et des femmes, les soutenir dans les processus de création d’apport et de revenu » a souligné Mme Diop. En effet le PIDES mets en place les infrastructures socio éducatives de base comme les garderies communautaires, des dispensaires entre autres ainsi que toutes les infrastructures que les femmes ont besoin pour libérer leurs activités et potentialités mais aussi, œuvre sur le renforcement de capacité.
La collectivité locale nous la soutenons pour qu’elle puisse internationaliser l’approche conceptuelle du programme qui consiste à intégrer dés le début de planification tout la dimension protection social et genre. Après avoir intervenu à Nioro du Rip pour leur aider à bénéficier d’un outil de planification, le programme compte accompagner la commune de Kaolack à mettre en place un conseil consultatif de quartier pour être en phase avec l’acte 3 de la décentralisation mais aussi accompagner le processus d’élaboration du plan communale articuler à des plans de développement de quartier.
M. Ousmane Ngom président en charge des conseils consultatifs de quartier, indique par la même occasion que cette rencontre leur a permis de s’imprégner par rapport à la structure du conseil consultatif de quartier qui est un concept de développement permettra à la base de s’activer aux activités de développement du quartier et faciliter le dialogue entre la population et les chefs de quartiers. En outre d’après Mr Ngom, ce processus va permettre aux quartiers d’évaluer vers la forme ONG au niveau de la base, mais également permettre aux quartiers de bénéficier des structures qui vont capter des fond, signer des conventions avec la mairie dans le cadre des ramassages des ordures et autres et trouver des satisfactions dans la politique d’écrite par la municipalité.
Khady Sène - flashinfos.net (Kaolack)