Face à la problématique liée au changement climatique, Mme Sy en appelle à mener un combat contre les «terroristes de l’environnement». «Je pense qu’on le voit déjà, on a eu dernièrement des perturbations des zones côtières. Donc, ça c’est des faits. On n’est plus dans la projection. On a le phénomène de la salinisation. Déjà, l’Etat dépense énormément d’argent dans des programmes de désalinisation. Ça veut dire qu’il y a de l’érosion côtière et que l’eau marine est en train d’infiltrer de plus en plus nos sols. On a un problème de rationalisation de nos ressources en eau. L’eau jusqu’à nos jours, pour un pays qui aspire au développement, est toujours une question primordiale. On connaît des pénuries d’eau, des problèmes de ressources. On ne peut pas nier qu’au Sénégal, il y a des personnes qui n’ont pas encore accès à l’eau», a souligné la présidente du mouvement «Citoyen vigilant pour l’écologie», dans flashinfos.net
Selon elle, «on a un autre phénomène, c’est que ce sont des denrées qui se raréfient avec le changement climatique. On sait que dans 20 à 25 ans, l’eau va être un problème dans ce monde-là et le Sénégal n’est pas à l’abri de ces questions-là. Au-delà de cela, tout le monde a entendu parler de ce pillage du bois, de cette désertification, à côté il y a la grande muraille verte. C’est-à-dire que d’un côté, l’Etat met beaucoup d’efforts et de l’autre côté ces efforts sont amoindris par des problèmes de la sorte».
Face à ce constat, cette écologiste estime que le moment est venu de faire face à ce fléau lié à la dégradation du cadre de vie. «Il est très important qu’on mène un combat contre les terroristes de l’environnement. Etre plus vigilant sur les études impacts environnementaux qu’on exige à toute entreprise qui s’installe au Sénégal. Dans nos propositions, on demande qu’il y ait un Haut cadre où on doit réfléchir sur toutes ces questions-là. Parce que l’écologie, c’est la base de tout», a-t-il éclairé.
«L’économie climatique, c’est une opportunité énorme pour l’Afrique. Mais il faut aller vite, il faut comprendre vite. Sinon, on risque de rater cette révolution énergétique qui est en mouvance au niveau mondial et que, encore une fois, on va rater le train en marche. Ç a va nous retomber dessus d’ici quelques années», a encore confié Gnagna Sy, tout en saluant la vision de l’Etat du Sénégal qui a pris en compte cette question environnementale dans les nouvelles réformes apportées à la Constitution.
Flashinfos.net
Selon elle, «on a un autre phénomène, c’est que ce sont des denrées qui se raréfient avec le changement climatique. On sait que dans 20 à 25 ans, l’eau va être un problème dans ce monde-là et le Sénégal n’est pas à l’abri de ces questions-là. Au-delà de cela, tout le monde a entendu parler de ce pillage du bois, de cette désertification, à côté il y a la grande muraille verte. C’est-à-dire que d’un côté, l’Etat met beaucoup d’efforts et de l’autre côté ces efforts sont amoindris par des problèmes de la sorte».
Face à ce constat, cette écologiste estime que le moment est venu de faire face à ce fléau lié à la dégradation du cadre de vie. «Il est très important qu’on mène un combat contre les terroristes de l’environnement. Etre plus vigilant sur les études impacts environnementaux qu’on exige à toute entreprise qui s’installe au Sénégal. Dans nos propositions, on demande qu’il y ait un Haut cadre où on doit réfléchir sur toutes ces questions-là. Parce que l’écologie, c’est la base de tout», a-t-il éclairé.
«L’économie climatique, c’est une opportunité énorme pour l’Afrique. Mais il faut aller vite, il faut comprendre vite. Sinon, on risque de rater cette révolution énergétique qui est en mouvance au niveau mondial et que, encore une fois, on va rater le train en marche. Ç a va nous retomber dessus d’ici quelques années», a encore confié Gnagna Sy, tout en saluant la vision de l’Etat du Sénégal qui a pris en compte cette question environnementale dans les nouvelles réformes apportées à la Constitution.
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