Oubliées par les différents régimes qui se sont succédé, les populations de Kafountine (Bignona) veulent prendre en charge le destin de leur localité. « De Senghor à Macky Sall en passant Diouf et Wade, Kaffountine n’a jamais eu un député ni le moindre poste dans le gouvernement. Jamais un fils de Kafountine, ce village de 45.000 hbts n’a été promu à un poste de responsabilité. C’est vraiment un manque de considération total d’après » dénonce, Ousmane Diabang, président du comité d’organisation de la Ziarra annuelle de Kafountine.
Enfonçant le clou, Sidou Diabang, président du comité de santé de Kafountine révèle que leur localité n’a jamais senti la présence de l’état à leurs côtés. Il relève que rien n’a été fait dans la santé et l’éducation.
Aujourd’hui, les populations de Kafountine reposent leur espoir sur le président de la convergence d’initiatives pour le Sénégal, Pape Ibra Samb, ancien recteur de l’Université de Thiès. Le scientifique, Chevalier des Palmes Académiques du Cames. « Ma relation avec ces populations est une relation humaine, sociale et morale bien avant la politique. Il est inadmissible que Kafountine soit abandonné à elle-même, comme ils viennent si bien de le dire ».
« Je pense qu’on doit tout faire pour accorder des avantages à ces localités pareilles, sinon un pays ne peut pas se développer sans que la base ne soit dedans ». M. Samb pense que la gestion des ressources publiques soit revue. Le président du CIS compte ainsi s’investir pour que Kafountine puisse retrouver le sourire.
Ibrahima DIASSY / Flashinfos.net
Enfonçant le clou, Sidou Diabang, président du comité de santé de Kafountine révèle que leur localité n’a jamais senti la présence de l’état à leurs côtés. Il relève que rien n’a été fait dans la santé et l’éducation.
Aujourd’hui, les populations de Kafountine reposent leur espoir sur le président de la convergence d’initiatives pour le Sénégal, Pape Ibra Samb, ancien recteur de l’Université de Thiès. Le scientifique, Chevalier des Palmes Académiques du Cames. « Ma relation avec ces populations est une relation humaine, sociale et morale bien avant la politique. Il est inadmissible que Kafountine soit abandonné à elle-même, comme ils viennent si bien de le dire ».
« Je pense qu’on doit tout faire pour accorder des avantages à ces localités pareilles, sinon un pays ne peut pas se développer sans que la base ne soit dedans ». M. Samb pense que la gestion des ressources publiques soit revue. Le président du CIS compte ainsi s’investir pour que Kafountine puisse retrouver le sourire.
Ibrahima DIASSY / Flashinfos.net