Abdoulaye Makhtar Diop répond à Djibo Kâ. Le patron de l’Union pour le renouveau démocratique (Urd) avait soutenu que la proposition du Grand Serigne de Dakar de rendre obligatoire le vote est antidémocratique.
« J’ai entendu Djibo Ka dire que le vote obligatoire est antidémocratique. Il veut donc dire que les États-Unis, l’Australie, le Luxembourg, la Belgique, qui abrite le siège de la Commission européenne des Droits de l’homme, sont antidémocratiques ? Tout le monde sait que ces pays sont des exemples de démocratie »’, déclare le Grand Serigne de Dakar, député à l’Assemblée nationale, Abdoulaye Mokhtar Diop, dans l’émission “Peccum rewmi wi’’ de Rewmi Fm. ,
‘Le vote obligatoire, qui a permis à ces pays cités d’atteindre un taux participation de l’ordre de 80 % lors des scrutins, va régler, selon lui, définitivement, le débat sur le taux d’abstention au Sénégal”, fait-il savoir.
Abdoulaye Makhtar Diop réitère alors sa proposition de modifier le Code électoral. “Il faut qu’on modifie le Code électoral pour que le corps électoral puisse être convoqué 2 mois à l’avance pour que le choix des couleurs des bulletins fasse l’objet de discussion entre pouvoir, opposition et société civile »’, préconise-t-il.
« J’ai entendu Djibo Ka dire que le vote obligatoire est antidémocratique. Il veut donc dire que les États-Unis, l’Australie, le Luxembourg, la Belgique, qui abrite le siège de la Commission européenne des Droits de l’homme, sont antidémocratiques ? Tout le monde sait que ces pays sont des exemples de démocratie »’, déclare le Grand Serigne de Dakar, député à l’Assemblée nationale, Abdoulaye Mokhtar Diop, dans l’émission “Peccum rewmi wi’’ de Rewmi Fm. ,
‘Le vote obligatoire, qui a permis à ces pays cités d’atteindre un taux participation de l’ordre de 80 % lors des scrutins, va régler, selon lui, définitivement, le débat sur le taux d’abstention au Sénégal”, fait-il savoir.
Abdoulaye Makhtar Diop réitère alors sa proposition de modifier le Code électoral. “Il faut qu’on modifie le Code électoral pour que le corps électoral puisse être convoqué 2 mois à l’avance pour que le choix des couleurs des bulletins fasse l’objet de discussion entre pouvoir, opposition et société civile »’, préconise-t-il.