Les populations des villages de Toubacouta et Darsalam dans la commune de Niassya ont reçus le sous-préfet El Hadji Djiby Bakhoum pour une visite guidée des blocs maraichers où le piment et la papaye biologique sont cultivés. Plus de trois hectares ont été mis à la disposition des femmes de ces deux villages pour mener à bien leurs activités. Selon Demba Keita de l’Ong AJAC (Apran) : « cette filière est à ce jour une opportunité pour les populations car le PRIDE une ONG belge déjà installée au Sénégal se chargera de la récolte tant en piment comme en papaye et surtout de la commercialisation voir de la transformation en produit comestibles ».
Pour Bakary Bodian chef du village de Darsalam pour qui le périmètre qui lui a été octroyé est insuffisant, il est temps que les communes puissent mettre à notre disposition des périmètres pour mieux rendre visible cette filière qui à ce jour peut faire reculer la pauvreté dans cette partie méridionale du pays car. Les 53 blocs de papayes et piments sont insuffisants et la récolte qui aura lieu à partir du mois d’aout, risque de faire des jaloux pour la simple raison que nous qui avons le courage de nous engager dans cette filière. D’ailleurs commençons à recevoir beaucoup de visite de la part de certaines populations d’autres villages qui veulent s’engager dans cette culture ».
De l’avis du sous-préfet de Niassya : « Ce sont des femmes très engagées que nous avons trouvées sur les blocs, il suffit de les booster pour que tout cela puisse être une réalité, car ce que nous avons devant nous doit être une affaire de tous » a dit, El Hadj Djiby Bakhoum.
Samsidine Niassy / Flashinfos.net
Pour Bakary Bodian chef du village de Darsalam pour qui le périmètre qui lui a été octroyé est insuffisant, il est temps que les communes puissent mettre à notre disposition des périmètres pour mieux rendre visible cette filière qui à ce jour peut faire reculer la pauvreté dans cette partie méridionale du pays car. Les 53 blocs de papayes et piments sont insuffisants et la récolte qui aura lieu à partir du mois d’aout, risque de faire des jaloux pour la simple raison que nous qui avons le courage de nous engager dans cette filière. D’ailleurs commençons à recevoir beaucoup de visite de la part de certaines populations d’autres villages qui veulent s’engager dans cette culture ».
De l’avis du sous-préfet de Niassya : « Ce sont des femmes très engagées que nous avons trouvées sur les blocs, il suffit de les booster pour que tout cela puisse être une réalité, car ce que nous avons devant nous doit être une affaire de tous » a dit, El Hadj Djiby Bakhoum.
Samsidine Niassy / Flashinfos.net