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Dakar étouffe à l’image de toutes les grandes villes! Les raisons sont connues : L’agglomération de Dakar représente 0,3% de la superficie nationale, concentre 23 % de la population sénégalaise, 50% de la population urbaine et 66% de l’activité économique du pays. 72% du parc automobile immatriculé, soit environ 324 000 véhicules circulent à Dakar. Le propre de l’homme étant l’adaptation, les autorités qui conduisent les affaires publiques, sont en train de mettre en place des dispositifs innovants et transversaux pour améliorer le système de transports dans le but d’assurer la continuité des activités quotidiennes des populations et faire face aux exigences de gain de temps, de confort et de sécurité.
Formation, non-conformité du dimensionnement des infrastructures, urbanisation galopante, tout y passe. Le propre de l’homme étant l’adaptation, les autorités qui conduisent les affaires publiques, sont en train de mettre en place des dispositifs innovants et transversaux pour améliorer le système de transport dans le but d’assurer la continuité des activités quotidiennes des populations et de faire face aux exigences de gain de temps, de confort et de sécurité.
Depuis la nuit des temps l’homme voyage avec des moyens variés: cheval, chameau, vélo, voiture, bateau, train, téléférique, avion, les navettes, etc.; quid des futuristes qui envisagent les poids pour des raisons militaires, économiques et stratégiques.
Tous ces progrès ont pour ultime but d’aller plus vite, plus loin, minimiser les embouteillages, réduire la pollution, assurer la sécurité et conjurer les accidents avec leurs conséquences funestes.
Le Président Macky SALL, a beaucoup contribué à relever le défi de la mobilité urbaine. Déjà, lors de sa déclaration de politique générale, du 20 octobre 2004, en sa qualité de Premier Ministre, il affirmait avec forte conviction, du haut de la tribune de l’Assemblée nationale, que : « L’accompagnement de notre compétitivité économique, par un programme intensif de modernisation et de renforcement des infrastructures aéroportuaires, ferroviaires, routières et maritimes est inéluctable.»
Une décennie plus tard, à son accession à la Magistrature suprême, gardant intacte sa volonté de donner à notre pays toute sa place dans le monde et de rattraper le gap dans la construction d’infrastructures modernes gage d’un développement économique et social. Armé d’une détermination inoxydable, il se mit à sortir de terre une à une toutes les infrastructures dont rêvaient nos populations : Aéroport International Blaise Diagne, réseau des autoroutes Dakar-Thiès, Ila Touba, Dakar-Mbour-Kaolack, le pont sur le fleuve Gambie, le Train Express régional (TER), qui annonce l’avènement du chemin de fer à grand écartement qui devra va relier Dakar à Bamako.
Ses pairs africains ne s’y sont pas trompés en le reconduisant à la tête du NEPAD au cours de la 32e session à Addis Abéba.
Résolument déterminé à se mouvoir entre la contrainte temporelle et la complexité de la mission, le Président SALL a réalisé un bilan tangible, réponse concrète et en bonne adéquation à une demande forte de nos populations, clairement identifiée grâce à une politique de proximité inégalée. C’est là le solide point d’ancrage d’une offre pertinente et prometteuse à l’adresse des sénégalais pour l’obtention d’un second mandat.
Ce point d’inflexion est devenu les Tours de Hanoï, pour l’opposition, qui multiplie les formules et les sigles (La POSE, FRN...) preuve d’un profond désarroi, qui accentue son incapacité à mobiliser les populations dans leur jeu de règlement de comptes. L’opposition n’a pas encore tiré de leçons des enseignements de John Locke, dans le second traité du gouvernement civil: je cite «…quand bien même il peut être nécessaire d'user de son droit d'opposition, cela ne doit pas se transformer en un règlement de comptes. »
Pendant que Macky multiplie les inaugurations, les Mackyphobes accumulent les camouflets !
Abdoulaye DIATTA
Conseiller municipal à Keur Madiabel
