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Le Front unitaire des syndicats de l’enseignement (Fuse) a lancé officiellement, hier, sa campagne pour les élections au Cap/Cd (Commission administrative paritaire et Commission disciplinaire), prévues le 20 avril prochain. A cet effet, le Fuse qui regroupe une vingtaine de syndicats d’enseignants membres du Grand cadre des syndicats (Gcse) d’Abdou Faty, et l’Union syndicale pour un enseignement de qualité (Useq), a décidé de faire une liste unitaire, portée par le Syndicat unique des enseignants du Sénégal (Sudes).
Quant à la préparation de ces élections au niveau du ministère de la Fonction publique, le Fuse fustige les nombreux dysfonctionnements et manquements constatés, tant au niveau central qu’au niveau déconcentré du commandement territorial. «A titre d’illustration, des milliers d’enseignants ont été privés du droit de vote par omissions et d’autres erreurs sur les listes électorales. Aussi, d’autres bien qu’inscrits ne pourront pas accomplir ce droit à cause des très longues distances qui les séparent de leur bureau de vote», a fustigé Mamadou Diaouné, porte-parole du jour du Fuse.
Ces syndicats d’enseignants ont toutefois invité le ministère de la Fonction publique à porter l’entière responsabilité du faible taux de participation. «Le ministère de la Fonction publique portera-t-il l’entière responsabilité de l’insignifiant taux de participation à ces élections professionnelles, si les corrections possibles ne sont pas apportées à la cartographie des bureaux de vote dans l’essentiel des départements administratifs du pays», a averti M. Diaouné.
Sur l’instabilité dans le secteur de l’éducation, le Fuse pense qu’il faut en finir avec les crises liées aux accords du 17 février 2014. Et c’est dans cet esprit qu’il a soumis un mémorandum au gouvernement avec des propositions pour une sortie de crise. «Il s’agit de propositions réalistes et réalisables pour ramener durablement la paix et la stabilité dans l’espace scolaire, dans l’intérêt de tout le monde. Désormais, la balle est dans le camp du gouvernement», selon Abdou Faty.
Flashinfos.net
Quant à la préparation de ces élections au niveau du ministère de la Fonction publique, le Fuse fustige les nombreux dysfonctionnements et manquements constatés, tant au niveau central qu’au niveau déconcentré du commandement territorial. «A titre d’illustration, des milliers d’enseignants ont été privés du droit de vote par omissions et d’autres erreurs sur les listes électorales. Aussi, d’autres bien qu’inscrits ne pourront pas accomplir ce droit à cause des très longues distances qui les séparent de leur bureau de vote», a fustigé Mamadou Diaouné, porte-parole du jour du Fuse.
Ces syndicats d’enseignants ont toutefois invité le ministère de la Fonction publique à porter l’entière responsabilité du faible taux de participation. «Le ministère de la Fonction publique portera-t-il l’entière responsabilité de l’insignifiant taux de participation à ces élections professionnelles, si les corrections possibles ne sont pas apportées à la cartographie des bureaux de vote dans l’essentiel des départements administratifs du pays», a averti M. Diaouné.
Sur l’instabilité dans le secteur de l’éducation, le Fuse pense qu’il faut en finir avec les crises liées aux accords du 17 février 2014. Et c’est dans cet esprit qu’il a soumis un mémorandum au gouvernement avec des propositions pour une sortie de crise. «Il s’agit de propositions réalistes et réalisables pour ramener durablement la paix et la stabilité dans l’espace scolaire, dans l’intérêt de tout le monde. Désormais, la balle est dans le camp du gouvernement», selon Abdou Faty.
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