Le vice-premier ministre britannique, Damian Green, a démissionné mercredi 20 décembre. Il a reconnu avoir menti sur la découverte d’images pornographiques sur son ordinateur il y a dix ans, ce qu’il avait toujours nié. A l’issue d’une enquête menée par les services de Downing Street, il a été conclu qu’il avait bien été informé par la police de la découverte de ces images. Mercredi, dans un message à Mme May, il a admis avoir fait des déclarations « inexactes et trompeuses ».
Ce proche allié de la première ministre Theresa May et membre clé du gouvernement est également accusé de harcèlement sexuel par Kate Maltby, une ancienne militante du Parti conservateur, de trente ans sa cadette.
« C’est avec un profond regret et une gratitude pour votre contribution durant de nombreuses années que je vous ai demandé de démissionner du gouvernement et que j’ai accepté votre démission », a répondu Mme May dans une lettre adressée à M. Green.
« Je me suis sentie mal »
Dans l’affaire de harcèlement sexuel présumé, Mme Maltby, aujourd’hui écrivaine, accuse M. Green, 61 ans, d’avoir posé sa main sur son genou lors d’un rendez-vous dans un bar en 2015 et de lui avoir envoyé un SMS « suggestif ».
« Je doute que vous puissiez avoir une quelconque idée de combien je me suis sentie mal, embarrassée, et compromise sur le plan professionnel. Peut-être que vous n’avez même pas pensé que vous faisiez quelque chose de mal. Et c’est ça le problème », a écrit Kate Maltby dans une tribune publiée par le quotidien The Times.
Le Monde
Ce proche allié de la première ministre Theresa May et membre clé du gouvernement est également accusé de harcèlement sexuel par Kate Maltby, une ancienne militante du Parti conservateur, de trente ans sa cadette.
« C’est avec un profond regret et une gratitude pour votre contribution durant de nombreuses années que je vous ai demandé de démissionner du gouvernement et que j’ai accepté votre démission », a répondu Mme May dans une lettre adressée à M. Green.
« Je me suis sentie mal »
Dans l’affaire de harcèlement sexuel présumé, Mme Maltby, aujourd’hui écrivaine, accuse M. Green, 61 ans, d’avoir posé sa main sur son genou lors d’un rendez-vous dans un bar en 2015 et de lui avoir envoyé un SMS « suggestif ».
« Je doute que vous puissiez avoir une quelconque idée de combien je me suis sentie mal, embarrassée, et compromise sur le plan professionnel. Peut-être que vous n’avez même pas pensé que vous faisiez quelque chose de mal. Et c’est ça le problème », a écrit Kate Maltby dans une tribune publiée par le quotidien The Times.
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