À l'instar des autres IEF de la région, les compositions du premier semestre étaient initialement prévu ce lundi dans les établissements de la commune de Djibidione dans le département de Bignona. Mais hélas, les démons de la grève ont imposé le contraire.
Le système dans sa globalité a été paralysé à l'intérieur du périmètre Communal. A l'origine du mouvement d'humeur des élèves, le manque de professeur de SVT décrié depuis l'ouverture des classes. Selon les élèves, les autorités académiques avaient à un moment proposé une solution alternative en sollicitant les services d'un professeur en service au lycée d'Adéane qui enseigne la dite matière et qui était censé faire la navette entre les différents établissements. Et, les potaches contraints de se contenter de la proposition à défaut de pouvoir disposer d'un professeur au service exclusif de leur localité ont eu la surprise d'apprendre que le sauveur est cloué sur le lit , parce-que souffrant. Suffisant pour voir les élèves constater la goutte d'eau, déborder le vase.
Résultats, le système est paralysé pour 72 heures et la tenue dans les délais des compositions plongée dans l'incertitude. Encore un coup infligé au quantum horaires et à la qualité des enseignements apprentissage. Ceci au lendemain d'une journée dédiée au devenir du système éducatif qui a mobilisé autant de partenaires financiers et techniques que de promesses de fonds. C'est dire que l'éducation de qualité pour tous n'est pas pour demain, car la barque du système est loin de la berge.
Seydou Diatta, Correspondant
Flashinfos.net
Le système dans sa globalité a été paralysé à l'intérieur du périmètre Communal. A l'origine du mouvement d'humeur des élèves, le manque de professeur de SVT décrié depuis l'ouverture des classes. Selon les élèves, les autorités académiques avaient à un moment proposé une solution alternative en sollicitant les services d'un professeur en service au lycée d'Adéane qui enseigne la dite matière et qui était censé faire la navette entre les différents établissements. Et, les potaches contraints de se contenter de la proposition à défaut de pouvoir disposer d'un professeur au service exclusif de leur localité ont eu la surprise d'apprendre que le sauveur est cloué sur le lit , parce-que souffrant. Suffisant pour voir les élèves constater la goutte d'eau, déborder le vase.
Résultats, le système est paralysé pour 72 heures et la tenue dans les délais des compositions plongée dans l'incertitude. Encore un coup infligé au quantum horaires et à la qualité des enseignements apprentissage. Ceci au lendemain d'une journée dédiée au devenir du système éducatif qui a mobilisé autant de partenaires financiers et techniques que de promesses de fonds. C'est dire que l'éducation de qualité pour tous n'est pas pour demain, car la barque du système est loin de la berge.
Seydou Diatta, Correspondant
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