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La coalition « Leeral » de Maître El Hadj Diouf est bien présente à Ziguinchor. Et c’est un ancien allié de l’Ucs d’Abdoulaye Baldé qui dirige la liste départementale de la coalition du tonitruent avocat. Moussa Cissokho, puisque c’est de lui qu’il s’agit explique la pertinence de leur liste.
« D’abord c'est par rapport à mon parcours pour la défense des intérêts des Ziguinchorois et ensuite mon profil qui répond parfaitement aux différentes fonctions du député. En outre maître El hadji Diouf tête de liste de la coalition a dignement représenté le peuple lors des dernières législatures. C’est pourquoi, nous, à ses côtés, allons créer une assemblée de rupture » a déclaré, Moussa Cissokho, tête de liste départementale de la coalition « Leeral » à Ziguinchor.
Pour ces législatives, le camarade de maître El Hadj Diouf explique qu’il ne s'agit pas de parti mais de choix d'hommes capables de répondre aux aspirations populaires.
« D’ailleurs c'est pourquoi, il y a eu des frustrations à l'UCS tout comme à l'Apr allant jusqu'aux menaces de vote sanction. Aujourd’hui je pense que c'est notre candidature qui fait peur car nous sommes déjà connus tant au plan national et local dans le combat pour la défense des intérêts de nos populations », estime M Cissokho.
Et de conclure : « Déjà on connait qui est qui et qui fait quoi? En plus les populations ne croient plus à ces politiciens "professionnels »
Flashinfos.net
« D’abord c'est par rapport à mon parcours pour la défense des intérêts des Ziguinchorois et ensuite mon profil qui répond parfaitement aux différentes fonctions du député. En outre maître El hadji Diouf tête de liste de la coalition a dignement représenté le peuple lors des dernières législatures. C’est pourquoi, nous, à ses côtés, allons créer une assemblée de rupture » a déclaré, Moussa Cissokho, tête de liste départementale de la coalition « Leeral » à Ziguinchor.
Pour ces législatives, le camarade de maître El Hadj Diouf explique qu’il ne s'agit pas de parti mais de choix d'hommes capables de répondre aux aspirations populaires.
« D’ailleurs c'est pourquoi, il y a eu des frustrations à l'UCS tout comme à l'Apr allant jusqu'aux menaces de vote sanction. Aujourd’hui je pense que c'est notre candidature qui fait peur car nous sommes déjà connus tant au plan national et local dans le combat pour la défense des intérêts de nos populations », estime M Cissokho.
Et de conclure : « Déjà on connait qui est qui et qui fait quoi? En plus les populations ne croient plus à ces politiciens "professionnels »
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