«C’est le minimum pour un président qui a été si bien élu avec plus de 65%», a-t- il fait savoir. Indiquant que le dialogue national nécessite la participation de tous les fils du Sénégal, le coordonnateur de l’Apr à Dakar Plateau pense que les Sénégalais doivent accepter l’élargissement de Karim Wade. Car, le président «en rassembleur et un fédérateur qui est en train de construire un Sénégal nouveau, a besoin de toutes les compétences pour travailler dans la paix».
Sur un autre registre, l’ancien directeur général de l’Anama appelle ses camarades à la tête des structures à une «gestion vertueuse». Car, les révélations de certains corps de contrôle «ne font pas honneur au Parti, encore moins au président de la République qui a toujours prôné la gestion vertueuse». Dans ce sens, le secrétaire général de l’Anpej invite ses camarades à suivre les pas du chef de l’État, afin de sauvegarder son image. «C’est inadmissible ; ce n’est pas ce que le Président Macky Sall nous a demandés dans la gestion», a-t- il lancé en guise d’avertissement.
Exhortant l’Apr à s’unir davantage pour mieux consolider les acquis, Salihou Kéïta a déploré que la démarche d’Aminata Touré qui s’est introduite en catimini dans sa circonscription, promettant des financements sans nous avertir. Or, les règles de préséance voudraient qu’elle s’adresse aux responsables locaux pour aller dans une dynamique unitaire et à suivre les structures étatiques en charge des financements. Sans quoi, «on pourrait soupçonner un agenda caché» Partant de là, même s’il ne conteste pas l’ouverture du chef de l’État qui est dans une dynamique fédératrice et de rassemblement prometteur, M. Kéïta l’exhorte à «renforcer les 26%» qui l’ont amené au 1 er tour.
Sur la crise scolaire, Salihou Kéïta appelle à la raison, estimant que «le syndicalisme du tout ou rien n’a jamais fonctionné et ne sera jamais d’actualité». Fort de cette conviction, ce responsable politique indique que les dirigeants des syndicats doivent revoir leur copie. «Sur une plateforme revendicative de 10 points si l’État en satisfait cinq, il faut attendre les autres pour l’année suivante», a-t- il noté, soulignant qu’«il est triste de voir des syndicats engager un bras de fer avec l’État». Par ailleurs, M. Kéïta a salué l’implication des chefs religieux.
Flashinfos.net
Sur un autre registre, l’ancien directeur général de l’Anama appelle ses camarades à la tête des structures à une «gestion vertueuse». Car, les révélations de certains corps de contrôle «ne font pas honneur au Parti, encore moins au président de la République qui a toujours prôné la gestion vertueuse». Dans ce sens, le secrétaire général de l’Anpej invite ses camarades à suivre les pas du chef de l’État, afin de sauvegarder son image. «C’est inadmissible ; ce n’est pas ce que le Président Macky Sall nous a demandés dans la gestion», a-t- il lancé en guise d’avertissement.
Exhortant l’Apr à s’unir davantage pour mieux consolider les acquis, Salihou Kéïta a déploré que la démarche d’Aminata Touré qui s’est introduite en catimini dans sa circonscription, promettant des financements sans nous avertir. Or, les règles de préséance voudraient qu’elle s’adresse aux responsables locaux pour aller dans une dynamique unitaire et à suivre les structures étatiques en charge des financements. Sans quoi, «on pourrait soupçonner un agenda caché» Partant de là, même s’il ne conteste pas l’ouverture du chef de l’État qui est dans une dynamique fédératrice et de rassemblement prometteur, M. Kéïta l’exhorte à «renforcer les 26%» qui l’ont amené au 1 er tour.
Sur la crise scolaire, Salihou Kéïta appelle à la raison, estimant que «le syndicalisme du tout ou rien n’a jamais fonctionné et ne sera jamais d’actualité». Fort de cette conviction, ce responsable politique indique que les dirigeants des syndicats doivent revoir leur copie. «Sur une plateforme revendicative de 10 points si l’État en satisfait cinq, il faut attendre les autres pour l’année suivante», a-t- il noté, soulignant qu’«il est triste de voir des syndicats engager un bras de fer avec l’État». Par ailleurs, M. Kéïta a salué l’implication des chefs religieux.
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