Le 57e anniversaire de l’accession du Sénégal à la souverainement internationale a été célébrée cette année dans la joie et l’allégresse au niveau de l’arrondissement de NIAGUIS. En effet, c’est cette commune située à une dizaine de kilomètre à l’est de la ville de Ziguinchor qui a été le point de ralliement de milliers de populations venues de tous l’arrondissement pour commémorer ensemble cette fête nationale qui, désormais, est organisée de façon rotatives entre les 3 communes qui composent cette circonscription administratives.
Ainsi les autorités municipales de Boutoupa Camaracounda et d’Adéane se sont joints à celles de Niaguis pour qu’avec le sous-préfet et le commandant de la base militaire, rehausser de leur présences les festivités qui ont été marquées par de très belles prestations aussi bien des civiles que des corps militaires et paramilitaires.
Cette belle communion reflète aux yeux des autorités comme des populations un grand espoir du retour d’une paix durable en Casamance.
« La Paix ne peut être consolidé que si les gens se parlent. Je crois qu’on a posé là des jalons supplémentaires vers l’installation d’une Paix durable qui nécessite en définitive un pardon collectif. Car tant qu’on ne se pardonne pas, rien ne marchera. La Paix est primordiale. Un chef religieux m’a dit qu’il faut que les prières soient faites pour que le pardon soit accepté. Je crois que si les gens se pardonnent, on va revenir à Niaguis fêter cette paix-là », plaide le maire de Niaguis, Monsieur Lamine SAGNA, qui assure que de tels actes vont être perpétués afin de redynamiser tout cela.
« C’est notre souhait. Le travail va être consolidé et il faut dire qu’il ne date pas d’aujourd’hui. Aujourd’hui, ça une autre forme et c’est excellent. Parce que ça permet un brassage de trois collectivités locales (Adéane, Niaguis et Boutoupa). Je pense que c’est une œuvre à saluer parce que ça montre un retour vers une paix définitive », s’enthousiasme-t-il.
Pour sa part, le maire de la commune d’Adéane, Ibrahima Diédhiou indique que le plus difficile a été surmonté et que le fil du dialogue a été relié avec leurs frères du maquis.
« Aujourd’hui, nous avons grand espoir que tous nos villages qui sont déplacés peuvent peut être dans quelques mois, ou quelques années retourner chez eux. Ce qui était difficile, c’était d’avoir un dialogue direct avec nos frères de l’autre côté, mais je pense que ce fil, on l’a relié. Il n’y a plus d’intermédiaire entre nous et nos frères de l’autre côté. On ne peut pas tout dire, mais laissez le temps au temps…» a soutenu, Ibrahima Diédhiou, maire d’Adéane et membre du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (Hcct).
Flashinfos.net
Ainsi les autorités municipales de Boutoupa Camaracounda et d’Adéane se sont joints à celles de Niaguis pour qu’avec le sous-préfet et le commandant de la base militaire, rehausser de leur présences les festivités qui ont été marquées par de très belles prestations aussi bien des civiles que des corps militaires et paramilitaires.
Cette belle communion reflète aux yeux des autorités comme des populations un grand espoir du retour d’une paix durable en Casamance.
« La Paix ne peut être consolidé que si les gens se parlent. Je crois qu’on a posé là des jalons supplémentaires vers l’installation d’une Paix durable qui nécessite en définitive un pardon collectif. Car tant qu’on ne se pardonne pas, rien ne marchera. La Paix est primordiale. Un chef religieux m’a dit qu’il faut que les prières soient faites pour que le pardon soit accepté. Je crois que si les gens se pardonnent, on va revenir à Niaguis fêter cette paix-là », plaide le maire de Niaguis, Monsieur Lamine SAGNA, qui assure que de tels actes vont être perpétués afin de redynamiser tout cela.
« C’est notre souhait. Le travail va être consolidé et il faut dire qu’il ne date pas d’aujourd’hui. Aujourd’hui, ça une autre forme et c’est excellent. Parce que ça permet un brassage de trois collectivités locales (Adéane, Niaguis et Boutoupa). Je pense que c’est une œuvre à saluer parce que ça montre un retour vers une paix définitive », s’enthousiasme-t-il.
Pour sa part, le maire de la commune d’Adéane, Ibrahima Diédhiou indique que le plus difficile a été surmonté et que le fil du dialogue a été relié avec leurs frères du maquis.
« Aujourd’hui, nous avons grand espoir que tous nos villages qui sont déplacés peuvent peut être dans quelques mois, ou quelques années retourner chez eux. Ce qui était difficile, c’était d’avoir un dialogue direct avec nos frères de l’autre côté, mais je pense que ce fil, on l’a relié. Il n’y a plus d’intermédiaire entre nous et nos frères de l’autre côté. On ne peut pas tout dire, mais laissez le temps au temps…» a soutenu, Ibrahima Diédhiou, maire d’Adéane et membre du Haut Conseil des Collectivités Territoriales (Hcct).
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